Au cours de mes lectures de témoignages de victimes du PN, je suis tombé sur un article définissant la rage narcissique.
Et je me suis dit : encore une caractéristique sur le narcissique que je ne connaissais pas.
C’est , tout bonnement, si j’ose m’exprimer ainsi, le moyen du PN de se débarrasser — provisoirement — du trouble qu’il porte dans son esprit.
Cette colère intérieure, est le résultat des contraintes pendant sa petite enfance qui ne lui permettaient pas d’être la vraie personne qu’il était, avec merveille, avec joie, et avec confiance en soi et en les autres.
La moindre chose, la moindre critique, le moindre échec peut déclencher cette rage, parce que les circuits défensifs sont toujours prêts a protéger l’ego, l’estime de soi sous-développé.
La sensation commune de ce comportement est la honte.
Un véritable PN n’avait pas une enfance qui a mené a la pratique et donc aux circuits cérébraux qui gèrent et qui réparent la honte.
Le trouble narcissique est donc une maladie neuropsychologique, un handicap social et personnel qui empêche la personne ainsi maudite d’avoir des relations de respect, d’empathie et de ce qu’on appelle l’amour avec une autre personne.
Le PN est une cocotte-minute qui explose et qui crache ses contenus sur la personne — réelle ou imaginaire — qui l’a trop chauffée.
Le récipient de ses contenus est le plus souvent la personne avec qui il a cette relation dépendante.
C’est cela la cause et le but de la rage : vider la poubelle intérieure.
Pour le PN, le role de sa « victime » est de lui permettre de se nettoyer le cerveau.
Personnellement, je trouve les propos de cet article très forts et puissants et de nature à faire réfléchir sur ce comportement les personnes atteintes de ce trouble de la personnalité narcissique.
Un vaccin n’existe pas contre cette rage, mais en prendre conscience est déjà le commencement de la guérison.